Le musée, singulier durant des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls huit ou 9 rayons de naissance filtrant à travers les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait délicatement par les couloirs poussiéreux, son regard clair sur les toiles accrochées aux murs décrépits. Depuis une https://israelfwlzl.idblogz.com/34275385/les-portraits-aux-faciès-changeants