Le manoir se dressait, asservissant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une constitution de verre et de métal résistait encore au temps : une serre oubliée, ésotérique postérieur un mur de végétation sauvage. https://franciscoqnduh.onzeblog.com/33805414/la-vie-figée