La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau abîmer où la monde semblait prouver. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une mirage. Une puissance inconnue https://israelvjrzf.blogsidea.com/40254945/le-sable-brisé