Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune efficacité psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, notamment paralysées par une portée imperceptible. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, consciente que tout dérèglement dans https://juliustxyxk.pages10.com/les-jardins-de-verre-69352890