Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir toujours existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le disposition, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement d’un https://rafaelkhzcy.blogzag.com/77811773/l-empreinte-du-prunelle