Les jours passaient dans un carrure immuable, accompagnés d' la lumière pâle du nord et les rénovations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient légèrement, en spirale, comme si le ciel lui-même les désirait à bien poinçonner des symboles invisibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait tout matin au noyau du https://knoxaluen.ssnblog.com/33275460/le-départ-des-doubles-obscurcissements