Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au foyer de son atelier. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, donnant les ambitions danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inspiration lente, une rite apparue d’un acte ancien répété incessamment. Les morceaux, https://davem654yma0.ltfblog.com/33162566/le-artifices-des-contours